Cristiano Ronaldo aime qu'on le déteste !
Superstar du foot, personnalité la plus suivie sur les
réseaux sociaux, Cristiano Ronaldo ne laisse personne indifférent et se nourri
de l’amour et de la haine qu’il suscite. Il s’en est ouvert à nos confrères de Coach Magazine. Morceaux
choisis.
Les haters :
Ronaldo se construit dans l’adversité, il se sert des « personnes
négatives comme une motivation » et avoue avoir « besoin
des gens qui [le] détestent ».
Sa rivalité avec Messi :
Le triple Ballon d’Or rejette en bloc l’hypothèse selon
laquelle sa rivalité avec l’argentin serait un moteur : « Nous
ne sommes pas bons amis, mais il y a beaucoup de respect entre nous. Les médias
vendent une grande rivalité entre nous, mais ce n’est pas le cas ».
Ronaldo: quot;There is a big mutual respect between myself and Lionel Messi.quot; #UCL pic.twitter.com/VTifNpay83
dash; Champions League (@ChampionsLeague) 28 octobre 2016
Son adversaire détesté :
CR7 a été marqué par un joueur croisé en Angleterre : « J’ai
eu quelques belles bagarres avec Ahsley Cole, il ne vous donne jamais une
seconde pour respirer. Il était un joueur si tenace, rapide et dur sur l’homme
quand il était au sommet de sa carrière. Vous saviez que vous n’auriez pas un match
facile. »
Ronaldo: quot;Over the years I had some great battles with Ashley Cole - he doesn’t give you a second to breathe.quot; #UCL pic.twitter.com/DnCQWn1rxK
dash; Champions League (@ChampionsLeague) 28 octobre 2016
Son idole :
Patriote, ses modèles restent des joueurs portugais : « Quand
j'étais plus jeune, je regardais les Portugais Figo et Rui Costa, et je voyais
leurs performances au plus haut niveau, je savais que j'avais envie d'atteindre
ce niveau. », mais son idole reste… Cristiano Ronaldo : « Mais
ma plus grande inspiration a toujours été moi-même, personne n'attend plus de
moi que moi-même ».
Le coach qui l’a le plus marqué :
On connait l’affection que le joueur de Madère porte à Alex
Ferguson, il ne manque p)as une occasion de le rappeler : « Je
considère Sir Alex Ferguson comme une figure paternelle. Tous mes entraîneurs
ont joué un rôle important dans ma carrière, mais quand je suis arrivé à
Manchester, je n’étais qu’un enfant et je débarquais dans le plus grand club du
monde. J’avais besoin de quelqu’un comme Sir Alex ».