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Ce 17 octobre, entendue par la Sous-direction antiterroriste (SDAT), au lendemain de l'assassinat de Samuel Paty, Delphine*, la principale du collège de Conflans-Sainte-Honorine, retrace les derniers jours du professeur. Éprouvée, elle raconte que la veille, juste avant le drame, alors que les vacances scolaires approchaient, quelques enseignants étaient déjà venus la voir : « Plusieurs professeurs sont venus me trouver pour me souhaiter de bonnes vacances et me conseiller de me reposer. J'étais particulièrement fatiguée, car il fallait gérer la situation provoquée par le cours du 5 octobre de M. Paty lorsqu'il a montré la caricature. »
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La principale poursuit : « Cela m'a procuré beaucoup de stress et des pressions p...
Idem dans la police, le médical...
Pour une religion de plus qui ne fait que manipuler, contrôler, brider, tromper. Quel désespoir.
Critiquer les chrétiens, les blancs, l'église, la France... C'est permis mais critiquer le coran, l'islam, mahomet & co ça par contre c'est interdit belle exemple a inculquer aux enfants pas étonnant que la France se délite !