En 2015, Katsuhiro Otomo recevait le Grand Prix d’Angoulême, un hommage rendu bien tard dans un pays pourtant très friand de manga. La France est le deuxième marché pour les ventes de ces petits formats en noir et blanc qui se lisent souvent de droite à gauche. Si les traductions d’œuvres japonaises ont longtemps monopolisé les rayons des librairies, un manga français est aujourd’hui en train de se faire une place. En France, et pourquoi pas un jour au Japon. Reportage au Festival de la bande dessinée d’Angoulême.
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