Publicité

Les 13 outils qui vont révolutionner votre recherche d’emploi

Pour vous aider à trouver le job de vos rêves, voici une sélection d'outils innovants (testés et approuvés !) Et si le chiffre 13 vous portait chance ? 

392_1439403621_breaz.PNG

Par Rédaction Start

Publié le 14 août 2015 à 19:43Mis à jour le 22 sept. 2015 à 13:43

1. Welcome to the jungle

Concept :
Le site Welcome to the Jungle s’est lancé en janvier 2015 avec pour mission de guider les candidats dans leurs recherches d’emploi en particulier auprès des startups et des PME en forte croissance. Une centaine d’entreprises sont aujourd’hui représentées. La promesse des deux jeunes co-fondateurs est d’aider le candidat à trouver la « tribu » qui lui correspond, c’est-à-dire l’entreprise qui répond à ses aspirations personnelles et professionnelles et dont il partage les valeurs et le sens.

Les plus :
Le contenu disponible sur chaque entreprise est riche, notamment photos et vidéos, et présente des infos utiles pour comprendre la culture d’entreprise (âge moyen, parité, turnover…). Il faut littéralement une minute pour candidater via son profil LinkedIn

Publicité

Les moins :
Beaucoup de petites entreprises qui recrutent en fait assez peu, donc un volume d’offres limité (environ 300 cet été).

Pour qui ? 
Le site s’adresse officiellement aux 20-35 ans, très qualifiés, mais WTTJ est aujourd'hui particulièrement adapaté à la recherche de stages (50% des offres) et aux juniors expérimentés (28-31 ans).

2. La Relève 

Concept :
La Relève est un cabinet de recrutement lancé en 2014 qui veut en finir avec les stages photocopieuses. Son objectif est de proposer aux 20-30 ans des offres de stages, d’apprentissage et de premier emploi qu’ils n’auraient pas forcément trouvées par eux-même. Les jeunes diplômés ont tendance à se focaliser sur les grands groupes alors que les start-up et PME offrent bien souvent des jobs plus enrichissants. En un an, 150 recrutements ont déjà eu lieu.

Les plus :
Des offres de qualité : La Relève visite les locaux de chaque entreprise déposant une offre et garantit l’intérêt des missions confiées au stagiaire.
Les références du candidat sont sytématiquement vérifiées : de quoi donner une chance aux plus stressés en entretien. Si leur ancien maitre de stage confirme leur motivation, ils ont le droit à une seconde chance.

Les moins : 
Encore peu d’offres disponibles car La Relève est toute jeune.

Pour qui ?
Les BAC +4/+5 en quête d’un stage ou d’une alternance qui sort des sentiers battus.
Les jeunes diplômés à la recherche d’un CDI en développement commercial dans une startup qui donne vite des responsabilités.

3. Academyk 

Concept :
Academyk a soufflé sa première bougie cet été. Spécialisé sur le conseil, ce site accompagne les candidats pour trouver un emploi, préparer leur candidature et définir leur projet professionnel. Comment ? En mettant à disposition gratuitement à ses 95 000 inscrits une centaine de micro-cours vidéo gratuits élaborés par plus de 40 experts, tous des professionnels de l’emploi.

Les plus :
Les vidéos sont faciles à assimiler, d’une durée de 5 à 10 minutes.
Et pratiques à consulter à tout moment, de n’importe où et quel que soit le support (PC, tablette, mobile).
Un résumé écrit et utile s'affiche sous chaque vidéo.

Publicité

Les moins :
Les formats des vidéos ne sont pas innovants (et trop statiques). Le catalogue des cours est encore limité et ne répond pas encore à toutes les problématiques des jeunes diplômés et jeunes actifs.


Pour qui ?
A toutes les personnes qui veulent s’équiper de bons conseils pour leur recherche d’emploi voire pour réorienter leur carrière.

4. Breaz.io 

Concept :
Breaz.io met en relation des candidats et des entreprises du secteur High Tech triées sur le volet via une plateforme web lancée en 2014. Face à la difficulté de recruter des profils de développeurs ou de data-scientist, la start-up a inversé les règles du jeu : ce sont désormais aux entreprises d’être en concurrence pour attirer les candidats et décrocher un entretien. La solution a déjà séduit 450 sociétés et 10.000 candidats ont postulé sur le site.

Les plus :
Les candidats évitent de recevoir des dizaines de coup de fil de cabinets de recrutement ou d’agences, ce sont directement les sociétés qui les contactent.
La solution commence à avoir une bonne notoriété dans le secteur des nouvelles techno.

Les moins :
L’offre ne s’adresse qu’aux profils techniques très qualifiés : développeurs, data-scientist, product manager, designer, et depuis peu aux business developper pour le côté commercial

Pour qui ?
Les développeurs, designers et autres spécialistes de la Tech à la recherche du job de leurs rêves

5. Kudoz

Concept :
Lancé en 2014, Kudoz est le premier jobboard qui “se débarrasse des contraintes du web en offrant un service exclusivement adapté au mobile”. Cette appli gratuite inspirée de “tinder”, promet à ses 100 000 abonnés une recherche d’emploi “pratique, ludique et moins anxiogène”. Vous vous inscrivez avec votre compte Linkedin. Parmi les 5000 offres consultables, grâce à l’algorithme de ciblage vous recevez des propositions en fonction de votre géolocalisation, votre profil et de vos critères de recherche.

Les plus :
Les inscrits peuvent postuler aux offres en un coup de pouce (“swipe”) et un tweet de motivation de 140 signes (facultatif).
Le côté pratique de l’appli versus les job boards classiques.
On peut choisir la localisation du job recherché et la fourchette de salaire.

Les moins :
L’obligation d’avoir un profil LinkedIn bien renseigné.
Les offres proposées ne sont pas toujours très bien ciblées.

Pour qui :
Jeunes cadres en poste ou étudiants friands de réseaux sociaux qui n’ont pas beaucoup de temps à consacrer à leur recherche d’emploi.

6. Monkey Tie 

Concept :
Née fin 2013, Monkey Tie est la première plateforme de recrutement affinitaire et de développement professionnel, qui tient compte, en plus du CV du candidat, de sa personnalité et de la culture d’entreprise pour que les recruteurs puissent trouver les bons profils et réciproquement. Pour cela, la start-up qui compte déjà 70.000 candidats a conçu des tests de personnalité, dont certains sont disponibles sur le site des Echos Start.

Les plus :
Une approche du recrutement originale et rafraichissante qui permet d’éviter de faire les mauvais choix.
Les tests sont gratuits pour les candidats.

Les moins :
Les tests sont parfois un peu trop longs.
Le site ne s’adresse pas spécifiquement aux jeunes diplômés.

Pour qui ?
Les indécis qui veulent mieux se connaître avant de foncer tête baissée vers un choix de carrière.
Ceux qui se sentent mal dans leur job ou dans leur entreprise actuelle.

7. Futur is good 

Concept :
Premier réseau d’entraide pour trouver un job né en 2012, Futur is good a réussi à rassembler 6.500 membres uniquement grâce au bouche-à-oreille. Ceux-ci partagent leurs conseils et encouragements au sein de “team” et peuvent passer des tests qui valident leur niveau dans différents domaines pour mettre en valeur leur profil. La plateforme se veut ouverte, transgénérationnelle et transcompétences et noue des partenariats avec d’autres acteurs pour étoffer son offre de services.

Les plus :
Les valeurs d’entraide et de soutien de la communauté.
Un coup de pouce qui peut faire la différence pour ceux qui sont au chômage.

Les moins :
Le réseau d’entraide ne s’adresse pas spécifiquement aux jeunes diplômés qui peuvent parfois se sentir un peu isolés parmi des membres plus âgés.
La communauté n’est pas encore très grande et les conseils des coach professionnels sont payants.

Pour qui ?
Ceux qui ont besoin de se sentir soutenus et accompagnés dans leur recherche d’emploi.
Ceux qui ont envie d’aider et de partager leur expérience avec d’autres personnes.

8. Keycoopt 

Concept :
Keycoopt est une plate-forme, crée en 2012, dédiée au recrutement des cadres par la cooptation. Un modèle basé sur la réalité du marché : “30% des cadres sont embauchés par la recommandation”. La start-up compte aujourd’hui 20.000 coopteurs en France. Le principe : “vous repérez un profil qui correspond à une annonce, vous recommandez cette personne, Keycoopt se charge de contacter le coopté avant de transmettre sa candidature au recruteur”.

Le plus :
Un recrutement rapide et efficace essentiellement en réseau. Keycoopt vérifie tous les profils des candidats avant de les diriger vers les entreprises, une exigence qui garantit la qualité des profils.
Quand la personne recommandée décroche un emploi, le coopteur reçoit une prime entre 500 et 1000 euros qu’il peut encaisser ou reverser à une association.

Les moins :
Depuis sa création, le site n’enregistre que 1500 offres d’emploi et 221 recrutements.
L’application mobile n’est disponible que sur l’Apple store.
Réseau qui se veut “exclusif” ce qui veut dire que pour s’inscrire il faut être coopté ou que Keycoopt accepte votre profil.

Pour qui ?
Keycoopt s’adresse exclusivement aux jeunes professionnels de plus de 3 ans d’expérience.

9. Tyba

Concept :
En seulement 3 ans et demi d’existence, Tyba est devenu le site d’offres d’emploi et de stage référent sur le marché européen des startups et des sociétés de l’Internet. L’idée est de faire gagner du temps aux candidats en leur envoyant des annonces ciblées en fonction de leur profil LinkedIn et un mini questionnaire de quatre questions, notamment sur leur envie de mobilité à l’étranger. Parallèllement, Tyba offre des fiches entreprises, dont certaines sont disponibles sur Les Echos Start, avec photos des bureaux, vidéos des employés et autres infos utiles pour savoir où l’on met vraiment les pieds.

Les plus :
Un réseau très large de startups : 1000 dans une vingtaine de capitales européennes, et autant de secteurs représentés.
On peut candidater en un clic via son profil LinkedIn.

Les moins :
“Only in English” (pour ceux fâchés avec l’anglais). Quoique les offres pour Paris sont souvent rédigées en français.

Pour qui ?
Pour les candidats qui veulent travailler chez un employeur qui leur ressemble et en recherche de mobilité en Europe. Plus adapté aux candidats en recherche d’emploi que de stage : les offres d’emploi étant huit fois plus nombreuses que les offres de stages.

10. Studyka 

Concept :
Né en 2011, Studyka, une branche d’Agorize ambitionne de reconnecter les étudiants avec le monde de l’entreprise. Chaque mois, en moyenne 3 challenges d’innovation de haut niveau sont disponibles. La chaîne TF1, par exemple, proposait de réfléchir à “la télévision de demain”. Pour participer, n’importe quel étudiant constitue sa team (3 à 5 personnes) parmi les membres de la communauté.
L’équipe travaille sur le projet pendant 3 à 4 mois et présente ses idées au jury de l’entreprise. Le but est d’attirer l’attention des recruteurs.

Les plus :
Un bon moyen de travailler sa visibilité, car votre CV qui vous est demandé à l’inscription, est ensuite étudié par les service RH des entreprises.
Les gagnants reçoivent des lots, des voyages, etc. Les plus chanceux obtiennent un stage ou un contrat au sein de l’entreprise.

Les moins :
Pas d’offres d’emploi consultables sur le site.
Seulement 300 recrutements depuis le lancement en 4 ans.

Pour qui ?
Surtout pour les étudiants intéressés par des projets innovants et qui cherchent à réseauter en vue de décrocher un stage dans un grand groupe.

11. Wizbii

Concept :
Lancé en 2010, Wizbii est le premier réseau social professionnel pour les 18-30 ans qui a pour objectif de “faciliter l’accès au premier emploi pour les jeunes en améliorant le dialogue entre le monde de l’entreprise et la génération Y”. Ses 380.000 membres peuvent accéder à des offres d’emplois, de stages et d’alternances mais aussi à des conseils et des témoignages et participer à des rendez-vous informels entre des sociétés et de jeunes candidats.

Les plus :
Des offres exclusivement destinées aux étudiants et jeunes diplômés (contrairement aux autres job-board) : moins de tri à faire et plus de chances de correspondre au profil recherché.
Une communauté très dynamique sur la plateforme et les réseaux sociaux.

Les moins :
Encore très franco-français pour l’instant même si le site a amorcé son développement au Royaume-Uni, en Belgique et en Suisse.
On ne peut pas consulter le site sans être inscrit.

Pour qui ?
Les fans de réseaux sociaux qui trouvent LinkedIN trop froid et impersonnel.
Les étudiants en quête d’un stage ou d’une alternance.

12. Job teaser 

Concept :
JobTeaser existe depuis 6 ans et fait partie de ces job boards nouvelle génération qui, en plus de proposer des offres de stages et d’emploi, ont dépoussiéré le concept des fiches métiers. On suit en vidéo de vrais professionnels dans de vraies boîtes tout au long de leur journée de travail. Pour ses 270.000 inscrits, JobTeaser a aussi développé un volet ‘conseil’ avec des vidéos de coaching (entretiens, CV…) et des sessions de live chats avec des employeurs où les inscrits peuvent directement poser leur question (revisionnables sur le site).

Les plus :
Contenu riche : 1.500 vidéos disponibles sur le site et 180 entreprises représentées.
JobTeaser a aussi son appli mobile.
Un calendrier des événements recrutement organisés par les entreprises.

Les moins :
Les startups ne sont pas (encore) représentés parmi les employeurs.
Encore très franco-français dans ses offres, malgré tout nombreuses (7.000 en rythme de croisière).
Un classement pas toujours rigoureux des vidéos sur le site.

Pour qui ?
Principalement les étudiants en recherche de stages, qui représentent 60 à 70% des offres sur le site. Mais aussi pour les jeunes dip pour préciser leur projet professionnel et les jeunes actifs qui réfléchissent à une reconversion.

13. Doyoubuzz 

Concept :
Né en 2008, Doyoubuzz, un site d’édition de CV numérique, veut accompagner les utilisateurs dans ce “ce-truc-chiant-à-faire” qu’est votre “carte d’identité professionnelle”. L’idée est d’optimiser vos chances de trouver un job et de faciliter la première étape de votre recherche d'emploi. Vous pouvez donc créer un CV original au format PDF et adapté aux smartphones gratuitement. 4 designs différents sont mis à la disposition des  900.000 inscrits.

Les plus :
Grâce au référencement de google, ce service favorise la visibilité et alimente le réseau.
Possibilité d’intégrer un portfolio (thèse, book), une fonctionnalité pratique pour justifier vos compétences et vous mettre en avant.

Les moins :
Certaines options sont payantes. Pour avoir plusieurs CV, notamment dans une langue étrangère, ou pour obtenir un nom de domaine personnel par exemple, l’utilisateur doit basculer vers un compte premium. Prix établis en fonction du régime  des utilisateurs (réduction étudiante). Tarifs : mensuel : 4,99 euros - trimestre : 11,99 euros et annuel : 39,99 euros.

Pour qui ?
Tous ceux qui souhaitent réaliser un CV original de manière simple, rapide et efficace

Sans oublier, cela va de soi, la lecture intensive des Echos START, matin, midi et soir !

Rédaction START

Publicité