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Le site archéologique de Palmyre, en Syrie, préservé « en grande partie », selon l’Unesco

L’Unesco s’est rendue sur le site, repris à l’organisation Etat islamique en mars, pour évaluer les dégâts.

Le Monde avec AFP

Publié le 27 avril 2016 à 17h31, modifié le 27 avril 2016 à 15h57
Palmyre en mars 2016.

Les premières observations d’une mission de l’Unesco dépêchée sur le site de Palmyre, en Syrie, font état de nombreuses dégradations d’édifices emblématiques, mais relèvent que le site archéologique « conserve pour une grande partie son intégrité et son authenticité ».

Le musée a été mis à sac par l’organisation Etat islamique, qui s’est rendue maître de l’oasis de mai 2015 à mars 2016, et a été dégradé par des bombardements. Quatre cents sculptures avaient été évacuées avant l’arrivée de l’EI, mais les pièces les plus lourdes, statues et bas-reliefs, autels dédiés aux divinités locales ont été renversés, les visages mutilés.

Le temple de Bêl et l’arc de triomphe ont été très abîmés, comme le signalait déjà un relevé précis des dégradations effectué au début d’avril par la société française Iconem.

Des experts de l’Unesco se sont rendus du 24 au 26 avril sur le site de la cité antique, reprise à la fin de mars à l’EI par l’armée syrienne avec l’aide de l’aviation russe. L’objectif de cette mission est « d’évaluer l’état général de conservation » du site, patrimoine mondial depuis 1980, et « d’identifier les mesures de sauvegarde d’urgence », selon le communiqué de l’Unesco. Leurs conclusions seront présentées à Istanbul en juillet.

Le Monde avec AFP

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