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L'action Facebook a perdu la moitié de sa valeur

L'action en Bourse du réseau social est passée sous la barre des 19 dollars, son plus bas niveau historique. L'entreprise a par ailleurs annoncé renforcer sa lutte contre les fausses mentions "J'aime".

Par Le Monde.fr

Publié le 03 septembre 2012 à 13h25, modifié le 04 septembre 2012 à 09h59

Temps de Lecture 1 min.

La dégringolade de l'action en Bourse de Facebook se poursuit. Vendredi 31 août, son prix est passé sous la barre symbolique des 19 dollars (environ 15 euros), soit à peine la moitié de son niveau d'introduction en mai dernier, à 38 dollars (environ 30 euros). A la clôture du Nasdaq ce vendredi, l'action a atteint son plus bas niveau à 18,06 dollars (environ 14,37 euros), après une chute de 5,4 % sur une journée. En trois mois et demi, la valorisation de l'entreprise a chuté de plus de 65 milliards de dollars, passant de 104 milliards à 38,69 milliards de dollars (environ 30,79 milliards d'euros).

La fin de la première période de blocage des actions ("lock-up") le 16 août n'a pas profité à Facebook. L'ouverture de la vente pour les actionnaires "historiques" du site a eu lieu au moment où l'action passait sous la barre des 20 dollars. Parmi ces actionnaires figurent la banque d'affaires Goldman Sachs, le fonds de capital-risque Accel Partners, des membres du conseil de surveillance et Microsoft.

LA CHASSE AUX FAUX "LIKES"

La chute perpétuelle du titre traduit les craintes quant au modèle économique du site, qui peine à monétiser son importante audience sur mobile. Les incertitudes se multiplient également autour des partenaires, Zynga en tête, qui représente 15 % du chiffre d'affaires du réseau social. Après des résultats en berne fin juillet et le départ fin août d'un de ses dirigeants, le géant du jeu social suscite l'inquiétude. La sincérité des avis d'utilisateurs laissés sur les pages d'entreprises ou marques est aussi régulièrement mise en doute.

C'est dans ce climat que Facebook a annoncé, vendredi 31 août, la mise en place d'outils de détection des faux "Likes" ("J'aime"), qui représenteraient moins de 1 % du volume global. Est notamment visée leur vente, qui brouille le principal indicateur de performance d'une marque sur le réseau social. "Facebook a été construit sur la base de l'identité réelle et nous voulons cette même authenticité pour les pages", explique Facebook sur son blog Sécurité, rappelant qu'il n'a jamais autorisé le commerce de ces mentions.

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